Partager l'article ! Tu n'ouvriras plus la bouche pour rien.: "Tu te souviens de moi, pov' merde ?" La gifle s'abattit brutalement sur ma joue... "Gwendoline ...
"Tu te souviens de moi, pov' merde ?"
La gifle s'abattit brutalement sur ma joue...
"Gwendoline ! J'ai dû te subir pendant une année."
La mémoire me revenait. Une de mes anciennes étudiantes. Elle avait grandi depuis...
Je ne m'attendais pas à la retrouver dans un donjon !
"T'étais donc maso, pov'crotte ! Si je m'étais douté... Mais on va rattraper le temps perdu !"
Elle attrapa mon oreille et m'inclina la tête jusqu'au sol.
"Tu vois ces bottes ? Elles sont sales. Toutes couvertes de boue... et du sperme de mon amant ! Lèche-les. Je veux qu'elles brillent."
Je commençais à m'exécuter.
Docilement.
Servilement.
Un coup de martinet s'abattit sur mes reins !
"Mieux que ça ! Je veux entendre les coups de langue !"
J'y mis plus d'ardeur.
"Là, c'est mieux. Tu crânes moins qu'à l'époque, hein ?"
Non. Je ne crânais plus. Je risquai un regard vers elle. Le petit laideron d'alors était devenu une belle femme. Et une dominatrice redoutable.
Je ne l'avais pas reconnue d'abord. Elle avait changé de coiffure et de couleur de cheveux. Blond cendré et cheveux mi-courts, tirés en arrière et disciplinés au gel. ça lui allait bien. Son
regard bleu s'était durci. Les talons hauts augmentaient sa taille.
Je revins brusquement à la réalité...
" Qui t'as autorisé à me regarder ?"
D'un coup de pied, elle me fit basculer sur le dos et posa son pied sur ma poitrine...
"T'as toujours la même tête de cul, hein ?"
Elle appuyait...
"On dit, "oui, maîtresse", tête de cul."
"Oui maîtresse", balbutiai-je...
Elle se pencha et m'allongea une gifle magistrale.
"Pour avoir oublié. Qu'est-ce qu'on dit ?"
"Merci, maîtresse."
Merci Gwendoline.
Elle se baissa alors, appuyant sur mes épaules.
"Ouvre la bouche."
J'obéis.
Elle se vida.
Avec un sourire éclatant.
Et une joie féroce dans le regard.
Par petites sacades.
Pour que je ne perde rien.
Quand elle eut fini, elle se secoua.
"Voilà... Une petite goutte pour la route."
Elle se redressa puis me dit : "tu vois, pour une fois, tu n'auras pas ouvert la bouche pour rien."
Elle me laissa.
Au revoir Gwendoline.
Et merci.
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