Nouvelles illustrées

Jeudi 2 novembre 4 02 /11 /Nov 19:42

"Tu te souviens de moi, pov' merde ?"
La gifle s'abattit brutalement sur ma joue...
"Gwendoline ! J'ai dû te subir pendant une année."
La mémoire me revenait. Une de mes anciennes étudiantes. Elle avait grandi depuis... 
Je ne m'attendais pas à la retrouver dans un donjon !
"T'étais donc maso, pov'crotte ! Si je m'étais douté... Mais on va rattraper le temps perdu !"
Elle attrapa mon oreille et m'inclina la tête jusqu'au sol.
"Tu vois ces bottes ? Elles sont sales. Toutes couvertes de boue... et du sperme de mon amant ! Lèche-les. Je veux qu'elles brillent."
Je commençais à m'exécuter.
Docilement. 
Servilement.
Un coup de martinet s'abattit sur mes reins !
"Mieux que ça ! Je veux entendre les coups de langue !"
J'y mis plus d'ardeur.
"Là, c'est mieux. Tu crânes moins qu'à l'époque, hein ?"
Non. Je ne crânais plus. Je risquai un regard vers elle. Le petit laideron d'alors était devenu une belle femme. Et une dominatrice redoutable.
Je ne l'avais pas reconnue d'abord. Elle avait changé de coiffure et de couleur de cheveux. Blond cendré et cheveux mi-courts, tirés en arrière et disciplinés au gel. ça lui allait bien. Son regard bleu s'était durci. Les talons hauts augmentaient sa taille. 
Je revins brusquement à la réalité...
" Qui t'as autorisé à me regarder ?"
D'un coup de pied, elle me fit basculer sur le dos et posa son pied sur ma poitrine...
"T'as toujours la même tête de cul, hein ?"
Elle appuyait...
"On dit, "oui, maîtresse", tête de cul."
"Oui maîtresse", balbutiai-je...
Elle se pencha et m'allongea une gifle magistrale.
"Pour avoir oublié. Qu'est-ce qu'on dit ?"
"Merci, maîtresse."
Merci Gwendoline.
Elle se baissa alors, appuyant sur mes épaules.
"Ouvre la bouche."
J'obéis.
Elle se vida.
Avec un sourire éclatant.
Et une joie féroce dans le regard.
Par petites sacades.
Pour que je ne perde rien.
Quand elle eut fini, elle se secoua.
"Voilà... Une petite goutte pour la route."
Elle se redressa puis me dit : "tu vois, pour une fois, tu n'auras pas ouvert la bouche pour rien."
Elle me laissa.
Au revoir Gwendoline.
Et merci. 

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Par topm-blog - Publié dans : Nouvelles illustrées - Communauté : L'art de s'offrir
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Lundi 14 novembre 1 14 /11 /Nov 19:19

Après le cours, Anne restait sous prétexte de me demander des éclaircissements sur sa notation.


Elle jouait les bonnes élèves, adoptant un changement radical dans sa tenue (chemisier sage et petite jupe plissée) et sa coupe (ses beaux cheveux roux avaient repoussé et elle se coiffait comme une jeune fille modèle, raie au milieu, petites couettes et deux barrettes dorées pour se donner une allure sage.)


Elle fermait la porte puis commençait par me faire manger la copie litigieuse. 


Ensuite, elle me faisait lever de ma chaise et mettre à plat ventre sur le bureau. Elle baissait mon pantalon et vérifiait si mon plug était bien en place.


En effet, tous les matins, j'avais rendez-vous avec elle dans des latrines sordides et peu fréquentées. Là, elle sortait l'objet - chaque jour un peu plus gros, me semblait-il - me le faisait abondamment lécher avant de m'ordonner de me déculotter et de me pencher. Puis elle me l'enfonçait en appuyant son pied sur mon dos, pour rendre la situation humiliante. Avant de nous séparer, elle me gratifiait d'un crachat sur la tête, afin de "lubrifier aussi ma tête de cul". Je devais faire ainsi cours, plugué, jusqu'à ce qu'Anne me délivre.


Satisfaite de voir qu'une fois encore, j'avais fait preuve de docilité, elle me récompensait d'une série de claques bien appuyées, agrémentées d'insultes relatives à mon statut de "lope" et de "petite trainée". 


Enfin, comme j'avais toujours le ventre sur le bureau, elle prenait un siège, rapprochait son joli pied chaussé de bottines de cuir à talon et me disait simplement "lèche".


Je m'exécutais alors docilement tandis qu'elle fouettait mon fessier à découvert à l'aide d'une règle plate. 
Je léchais longuement sa chausse, d'abord le dessus, puis les rebords, enfin, la semelle... Le talon pour la fin : je devais le prendre en bouche et mimer une fellation, ce qui distrayait beaucoup Anne. Elle immortalisait la scène sur son portable afin d'en rire avec ses amies perverses. 


Je devais ensuite appliquer le même traitement à l'autre chaussure tandis qu'Anne, au mépris du règlement allumait une cigarette pour mieux jouir du spectacle. De temps à autres, elle m'ordonnait de redresser la tête et de tirer la langue pour y déposer la cendre que j'avalais goulument avant de me remettre à ma besogne.


Une fois satisfaite de la brillance de ses bottines, Anne me dépouillait de ma chemise et ouvrait une petite boite qu'elle avait dans son sac. Elle en sortait alors des pinces à linges qu'elle posait sur mes tétons, autour, sur mes lobes d'oreille, sur ma langue, et, finalement, sur mes gonades. Elle s'amusait à les faire tomber avec la règle puis, insensible à ma douleur et à mes larmes, elle les replaçait et recommençait. 


L'heure avançait et la belle et cruelle rousse se décidait enfin à me délivrer de mon calvaire, enlevant pince et plug puis, elle déposait un baiser sur mon front, m'empoignait par les cheveux, m'inclinant la tête en arrière, avant de lâcher un crachat dans ma bouche ouverte.

A demain disait-elle.

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Mardi 11 octobre 2 11 /10 /Oct 18:24

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Ma Punkette.

 

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Jeudi 28 juillet 4 28 /07 /Juil 19:57

Anne était une adolescente rebelle. Punk grand teint, elle s'était sculpté une crête d'iroquois sur la tête et avait rasé ses tempes. Cette auréole de cheveux roux s'harmonisait avec ses yeux verts... Cependant, cette tenue était contraire au règlement. Comme je l'avais convoquée au bureau pour le lui signifier, elle avait vivement réagi. Je me retrouvais allongé sur mon bureau, ses genoux plaqués sur mes épaules m'immobilisaient pendant qu'elle s'appliquait à me faire manger le règlement feuille par feuille, tout en m'insultant...

Elle était en train de me fourrer la page sept dans la bouche quand la psychologue entra dans le bureau. Anne la connaissait bien et se calma. Elle se retourna pour lui parler et relâcha un peu la pression... Je relevais la tête pour écouter mais elle me lança : "toi, pauvre merde gominée, j'en ai pas fini avec toi. Termine ce que t'as dans la bouche." N'osant la contrarier, je continuais docilement à mâcher la feuille mais dressai l'oreille. La psy lui expliquait qu'il fallait créer un climat plus détendu pour discuter avec les gens. En leur offrant des fleurs par exemple. Cela sembla la toucher et m'épargna d'avaler le chapitre sur la sécurité dans les ateliers.

En effet, le lendemain, elle m'apporta un bouquet de roses. Sans épines. Un détail que j'appréciais... tandis qu'elle me forçait à les manger tige par tige.


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NDA : Dans Dites-le avec des fleurs, c'est ma copine de lycée Anne qui m'a servi de modèle. Une superbe rousse aux traits fins et à la longue chevelure qui, du jour au lendemain se coupa la tignasse à ras (avait-elle craqué en regardant le vidéo-clip Sweet Dreams, avec la sublime Annie Lennox ?) puis se rasa carrément les tempes (c'était le début des années 80, période Mad Max.) Malgré son look,  Anne avait plutôt un caractère froid et réservé. J'en fais ici une furie indomptable. (J'aime beaucoup le passage où elle me traite de « pauvre merde gominée . »)

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